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Quinquina Rouge - Ecorce en vrac - Sachet de 200g pour tisane
Le Quinquina (Cinchona succirubra) - L'allié du tonus et contre les affections fébriles
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Le Quinquina (Cinchona succirubra) - L'allié du tonus et contre les affections fébriles
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Date de disponibilité: 01/04/2020
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Nom latin : Cinchona succirubra
Famille : Rubiacées
Synonymes : Quinquina, quinquina rouge, écorce rouge du Pérou, écorce rouge, kina, poudre des jésuites, bois aux fièvres, poudre de la comtesse.
Partie utilisée : Ecorce
Le quinquina lutte contre la fièvre et l'asthénie grippale. C'est un des meilleurs antigrippaux connus. Grace à son action tonique, il est recommandé aux asthéniques ou convalescents qui sont en état de faiblesse. En réduisant les graisses de l'organisme, il peut empêcher l'obésité de s'installer. Il diminue les courbatures et les douleurs associées aux états fébriles. On peut aussi utiliser une décoction que l'on appliquera directement sur le cuir chevelu (20g par litre d'eau, laisser macérer 1 heure) pour redonner vigueur aux cheveux et calmer les démangeaisons. A noter que c'est à partir de cette plante que l'on synthétise la chloroquine.
Alcaloïdes quinoléiques (dont la quinine et la quinidine à partir desquelles on peut synthétiser l'hydroxychloroquine), alcaloïdes indoliques (dont la cinchonamine), anthraquinones, essence aromatique.
Plantes médicinales en vrac, en sachet kraft.
Garanties sans résidus de pesticides et sans radiations.
Les compléments alimentaires ne sont pas des médicaments et ne remplacent pas une alimentation saine et équilibrée.
Selon la légende, un soldat espagnol, mourant de soif et grelottant de fièvre, fut obligé de boire l'eau trouble d'un lac au Pérou, où croupissaient des arbres ensevelis par un tremblement de terre. Sa fièvre disparut par miracle, et ses camarades atteints de la même fièvre firent de même et guérirent. Dans le même temps, la comtesse de Cinchon, femme du vice roi du Pérou, était atteinte de fièvre et était en train de passer de vie à trépas quand son médecin lui administra le remède miracle. Guérie, elle apporta à la cour d'Espagne quelques sachets d'écorce de quinquina en 1638. Une mission scientifique fut envoyée au Pérou pour étudier " l'arbre à fièvre" que les Indiens connaissaient depuis fort longtemps et appelaient kinakina, c'est-à-dire " l'écorce des écorces". Ce n'est qu'en 1820 que les français Pelletier et Caventou découvrirent la quinine, le principe actif du quinquina.
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